Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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Affreux chantage des eurodéputés sur les futurs services diplomatiques européens

20/10/2009 14:19

Affreux chantage des eurodéputés sur les futurs services diplomatiques européens


Le traité de Lisbonne prévoit, pour son futur ministre des affaires étrangères de l’UE ( «Haut représentant» pour la PESC) un « Service européen d’action extérieure » (SEAE), réseau de véritables ambassades de l’Union, concurrentes des ambassades nationales. Les Etats qui ont pourtant signé et ratifié à toutes forces le traité de Lisbonne en évitant les peuples, rechignent à ce que le SEAE soit sous l’autorité administrative, politique et budgétaire de la Commission plutôt que du Conseil. Or, ce « Haut Représentant » sera bien vice-président de la Commission. Pourtant, Londres, Paris et Berlin préféreraient que ce réseau diplomatique européen soit responsable devant le Conseil, et non la Commission, afin de garder une certaine maîtrise. Mais le rapporteur du projet au Parlement européen, l’Allemand Elmar Brok , qui annonce un service de « 6000 à 8000 personnes » pour commencer, avertit que si le SEAE n’est pas sous le contrôle de la Commission de Bruxelles, le Parlement européen pourrait bloquer le budget du service, voire l’approbation de tel candidat pour la fonction de Haut Représentant ! Alors que Lisbonne attend encore le résultat d’un recours constitutionnel tchèque et d’un possible addendum sur les décrets Bénes, le Parlement européen a décidé d’aller vite, quitte à bousculer ses députés : le rapport d’initiative sur le SEAE sera adopté en Commission le 19 octobre au soir, les députés auront alors quelques heures seulement pour l’amender avant le débat express et le vote à peine trois jours après, le 22 octobre à Strasbourg. Rappelons que l’Union européenne n’a officiellement de « politique étrangère et de sécurité commune » que depuis le traité de Maastricht de 1992. Pourtant, la Commission ne s’est pas privée de développer depuis cinquante ans une activité pseudo-diplomatique à travers sa représentation extérieure, comme elle s’en félicite : « cette année, le Service extérieur de la Commission célèbre son 50e anniversaire, à un moment où l’intégration européenne entre dans l’un de ses plus grands défis mais aussi une période des plus prometteuse ». La Commission européenne dispose donc déjà d’un imposant réseau de 130 délégations diplomatiques où sont employés plus de 5.000 personnes dans le monde entier, dont beaucoup usent sans vergogne du titre «d’ambassadeur» qu’ils n’ont pourtant pas. Certaines de ces délégations paraissent très nombreuses : au Burkina Faso par exemple, l’UE dispose d’une délégation de 45 personnes…

Sources : http://www.observatoiredeleurope.com et  http://www.gaullisme.fr/?p=2549






«Les Français ne supporteront … …bientôt plus le pouvoir sarkozyste»

20/10/2009 14:10

«Les Français ne supporteront … …bientôt plus le pouvoir sarkozyste»


Libération, le 17/10/2009
La candidature de Jean Sarkozy à la tête de l’Etablissement public d’aménagement de la Défense (Epad) n’a pas été digérée à droite. Mais rares sont ceux qui osent le dire. Au gouvernement, seule Rama Yade admet que le climat est mauvais. Ainsi que l’ex-Premier ministre Jean-Pierre Raffarin. Député (non-inscrit) de l’Essonne, Nicolas Dupont-Aignan, qui a quitté l’UMP début 2007, peut se permettre de dire tout haut ce que nombre de ses ex-collègues pensent tout bas.
En soutenant les ambitions de son fils, Nicolas Sarkozy n’a-t-il pas tiré une balle dans le pied de la droite ?
Il est carrément en train de scier la branche sur laquelle il a été élu. Il a porté pendant sa campagne un certain nombre de valeurs comme le mérite, le travail, qui sont aujourd’hui battues en brèche dans l’exercice du pouvoir. Son attitude brise le pacte républicain. Beaucoup de gens rejoignent aujourd’hui notre mouvement Debout la République, choqués par la nomination de Jean Sarkozy, et ils viennent pour la plupart de l’UMP. Dans son électorat, la désillusion à l’égard de Nicolas Sarkozy est à la hauteur des espérances suscitées.
Avec cette affaire et la polémique sur Frédéric Mitterrand, l’UMP ne tourne-t-elle pas le dos à son électorat ?
C’est une certitude. Cette inversion de valeurs n’est pas nouvelle. Depuis l’élection du président de la République, nous assistons à une vraie rupture : la dévalorisation de la fonction présidentielle. Nicolas Sarkozy agit avec la plus grande désinvolture, non seulement à l’égard du Premier ministre, mais aussi des parlementaires et surtout des Français. Dans la Ve République, le Président dispose de grands pouvoirs qui exigent de lui, en contrepartie, une rigueur et une exemplarité irréprochables. Sinon le risque d’une dérive vers un pouvoir personnel est grand. C’est le cas aujourd’hui. Le double langage est permanent. Les actes sont totalement contradictoires avec les intentions affichées. Trois exemples. Le président de la République a fait de la sécurité son fonds de commerce ; mais on réduit les effectifs dans les commissariats. Sur la régulation du capitalisme, il prône le retour du volontarisme public en économie – que je défends -, mais il donne de l’argent aux banques sans les contrôler. Il se fait le héraut du mérite au lycée, mais il organise l’arrivée de son fils à la tête de l’Epad. Cette schizophrénie ne peut pas durer.
Comment jugez-vous le manque de réactions des députés UMP ?
Un système de parti unique a été mis en place, d’où sont écartées les personnalités les plus fortes et celles qui réfléchissent. On ne peut pas attendre de leur part la dénonciation d’un système qui les nourrit. Je suis pourtant impressionné par le nombre de mes collègues qui se rendent compte des dérives et s’inquiètent de l’impasse économique et sociale dans laquelle le pays est entraîné. Quelques-uns tentent de résister à leur façon, mais la plupart n’osent pas franchir le Rubicon comme je l’ai fait en 2007, en dénonçant le candidat du show-biz, de la frime et du fric. Les parlementaires UMP évolueront le jour où ils auront le sentiment qu’une alternative à droite peut gagner. Je suis convaincu que les Français ne veulent pas du retour de la gauche et qu’ils ne supporteront bientôt plus le pouvoir sarkozyste. Il faut s’organiser pour préparer la suite.
Jean-François Copé pourrait incarner cette alternative à droite ?
J’ai l’impression qu’il mise plutôt sur 2017 que sur 2012. La question n’est pas de remplacer une personne par une autre, aussi brillante soit-elle. L’enjeu est de changer radicalement de politique. Malgré les beaux discours, ce gouvernement est en train d’échouer. Il ne remet pas en cause un système mondialiste de libre-échange intégral suicidaire pour nos emplois, un euro surévalué par rapport au dollar et une oligarchie bancaire étouffante pour nos PME. Tant que nous ne nous attaquerons pas aux causes du chômage, nous ne résoudrons rien.
Cette situation peut-elle nourrir un retour du FN ?
Si une droite républicaine et sociale n’émerge pas rapidement, un retour de l’extrémisme est à craindre. Beaucoup se sentent orphelins d’un vrai rassemblement gaulliste.
En intégrant la majorité présidentielle, Philippe de Villiers vous a dégagé le terrain du souverainisme ?
Ce n’est pas seulement la question de la souveraineté de la France qui est en jeu, mais la survie des principes républicains. L’effort économique à fournir dans les années qui viennent devra s’accompagner d’une vraie justice sociale. Nous en sommes loin.
Par CHRISTOPHE FORCARI





Un chantre de l’utralibéralisme à Arras

20/10/2009 13:55

Un chantre de l’utralibéralisme à Arras


Bruno Sido, Sénateur UMP, viendra à Arras faire la promotion clé en main du Grenelle de l'environnement cher à Sarkozy et les lobbies céréalier et industriels qui le soutiennent. Lorsque vous cherchez sur la toile des renseignements sur Bruno SIDO, voilà ce que vous trouvez : Sénateur de la Haute-Marne (Champagne-Ardenne), Secrétaire de la commission de l'économie, du développement durable et de l'aménagement du territoire, Vice-Président de la délégation sénatoriale aux collectivités territoriales et à la décentralisation, Membre de l' office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques, Membre du groupe Union pour un Mouvement Populaire, Membre du groupe chasse et pêche , du groupe d'études de l'énergie , du groupe d'études postes et communications électroniques

Président du conseil général de la Haute-Marne (canton : Saint-Blin), Membre du Comité national de l'eau, Membre de la Commission supérieure du service public des postes et des communications électroniques, Membre du Conseil consultatif de l'Internet, Membre du Haut Comité pour la transparence et l'information sur la sécurité nucléaire, Membre de la Délégation pour la planification, Vice-Président du conseil régional de Champagne-Ardenne, Maire de Saint-Blin et Membre du Conseil d'orientation pour la prévention des risques naturels majeurs… Bref tous les symptômes du cumulard, très courant à l’UMP. Où il ne dépareille pas également parmi l’aéropage Umpiste c’est qu’il est avant tout un parlementaire godillot chargé de répandre la bonne parole Sarkozienne concernant le Grenelle de l’environnement, titre pompeux pour annoncer la mise en place d’un système inique de taxes qu’auront à payer quotidiennement les citoyens  et qui préservera de cette impôt déguisé, les principaux pollueurs de la planéte (conglomérat industriel, gros agriculteurs..). Enfin, à décharge, nous pouvons toujours penser que ce Monsieur prêche d’abord pour sa paroisse puisqu’il serait agriculteur. Et oui, cela ne s’invente pas puisqu’il à une exploitation agricole ! Enfin, j’en connais qui ont des fermes comme des eunuques ont des harems, cela fait jolie dans le petit monde enchanté de l’UMP, mais cela ne trompe pas les vrais paysans et les citoyens attentifs que nous sommes. Bruno SIDO est avant tout un adepte de l’ultra – libéralisme, chantre de la mondialisation. Pour preuve, cette intervention dans le journal du Sénat de novembre 2008 : « En 2011, tous les marchés du secteur postal seront ouverts à la concurrence. Pour profiter de cette nouvelle donne, La Poste a besoin de moyens et d’une capacité d’action renforcée. C’est pourquoi sa forme juridique doit évoluer pour permettre une augmentation de capital, et permettre qu’aux côtés de l’État, des institutions, des postiers, mais aussi nos concitoyens puissent participer au développement de cette entreprise du service public et de service au public. » Bref, après cela, plus besoin d’insister sur le côté nocif du personnage quand au devenir de notre nation !

PW 






Taxer les banques ? Plutôt deux fois qu’une…

19/10/2009 17:34

Taxer les banques ? Plutôt deux fois qu’une…


Depuis un an je n’ai cessé de réclamer de vraies mesures de régulation du secteur bancaire français, aussi bien pour des raisons d’efficacité économique que de décence.
Mais depuis un an, le gouvernement s’est contenté d’hausser le ton, sans agir en conséquence. Chacun de nous l’a remarqué, il a toujours sous la main une excellente raison, une raison d’impérieux intérêt général, pour justifier, au-delà de mesures un peu cosmétiques, son indulgence à l’égard du secteur bancaire et financier. Un secteur bancaire et financier qui, ne l’oublions pas, est l’un des tout premiers responsables de la surenchère spéculative suicidaire qui a mené à l’effondrement des bourses et à la crise économique.
Dans le désordre, il y eut : l’argument spécieux selon lequel l’Etat ne devait pas entrer de plain-pied dans le capital des banques car il serait incompétent (la compétence des banquiers, elle, n’étant pas en doute…), la nécessité de maintenir l’attractivité de la France dans la compétition internationale (mais pourquoi donc ne pas s’aligner tout de suite sur les standards chinois ? !), l’urgence de préserver des établissements financiers qui alimentent en crédit l’économie réelle et notamment les PME (mais comme par hasard, aucun des engagements pris par les banques sur ce terrain n’a été respecté), l’assurance que de très généreux intérêts seraient versés à l’Etat en contrepartie des 20 milliards d’argent public octroyés (on sait ce qu’il en est advenu), etc.
Dans ce registre, la ministre de l’Economie Christine Lagarde, ancienne des « boards » de multinationales américaines avant son entrée au gouvernement français, excelle tant qu’on finit par se demander de qui et de quoi elle est en réalité ministre. Et on aimerait beaucoup que sa virtuosité rhétorique soit enfin mise au service de cet intérêt général tant invoqué…
La Commission des finances de l’Assemblée nationale vient d’ailleurs de lui en fournir l’occasion, adoptant, avec le concours inattendu de députés UMP, un amendement socialiste prévoyant la sur-taxation des banques. Mais non, là encore notre ministre trouve un argument imparable : la nécessité de ne pas handicaper les banques françaises face à leurs consœurs européennes. Sauf que… plusieurs pays européens, dont la Grande-Bretagne, ont décidé de surtaxer leurs banques, faisant au passage voler en éclats l’argumentation du gouvernement français !
A l’évidence, les banquiers et financiers entendent toujours autant, crise ou pas crise, G20 ou non, se goinfrer de rémunérations faramineuses inversement proportionnelles à leurs performances. D’ores et déjà les bonus et autres qui seront distribués outre-Atlantique casseront tous les records historiques, y compris ceux établis avant la crise. Et on peut sans doute faire confiance au gouvernement français pour justifier qu’il en soit de même dans notre pays, ce qui ne manquera pas tôt ou tard de se produire, vu le rebond de la bourse depuis le début de l’année, malgré les difficultés croissante de l’économie réelle.
Moralement et économiquement, le sauvetage dans ces conditions, cette remise à flots des établissements bancaires pour qu’ils recommencent de plus belle leurs errements avides, est totalement inadmissible. Les Français n’oublieront pas de demander des comptes. Mais, dès à présent, ils ne supporteraient pas que les banques soient exemptées de toute contribution spéciale au redressement des finances publiques, très dégradées à cause d’elles. Les parlementaires semblent l’avoir compris, mais qu’en sera-t-il du gouvernement et de l’Elysée ?
NDA





Ma Sécu - De la Libération à l'ère Sarkozy

19/10/2009 17:25

Ma Sécu - De la Libération à l'ère Sarkozy


Ma Sécu - De la Libération à l'ère Sarkozy 

Auteurs : Frédéric Ploquin et Eric Merlen

Paru le : 30/04/2008 

Editeur : Fayard 

ISBN : 978-2-213-62463-1 

EAN : 9782213624631 

Nb. de pages : 412 pages 

Dimensions : 15,5cm x 23,5cm x 3,3cm 

Mot de l'éditeur

Ma Sécu raconte l'histoire de celle que, pour se rassurer, l'on s'imagine éternelle, sans vraiment savoir ce qu'elle est : la Sécurité sociale.
Pour que chacun se fasse une idée des véritables menaces qui planent sur elle. Et parce qu'elle mérite mieux qu'un nouveau pamphlet, voici une véritable investigation. Famille, santé, retraite, tous les acteurs de cette formidable invention ont ici la parole, y compris les usagers. Une lecture après laquelle on saura pourquoi la Sécu , ce trésor national, mérite à tout prix qu'on la défende. 
 

 

Avis de PW 

Ce livre est riche en informations utiles pour alimenter le débat que mènent tous ceux qui luttent pour garder la sécurité sociale en France, outil du principal facteur de cohésion nationale qu'est la fraternité.






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